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Plots, plants and paradoxes: contemporary domestic gardens in Aotearoa/New Zealand

Abstract
Currently, gardens, gardening and horticulture—plots and plants—are receiving increasing attention from geographers and others interested in spatial disciplines because they provide a useful lens for understanding the complex politics surrounding social and cultural life. In this paper I aim to add to this literature by examining contemporary domestic gardens as paradoxical spaces. The paper begins by outlining some of the reasons for choosing to examine contemporary domestic gardens. Following this is a brief review of a range of geographical literature on gardens, gardening and horticulture. The paper then presents data collected on domestic gardens and gardening practices in Hamilton and Auckland, Aotearoa/New Zealand to illustrate that domestic gardens are paradoxical spaces where the binaries nature and culture, private and public, individuality and sociality, leisure and work, and colonial and postcolonial are destabilized. The paper concludes that although domestic gardens are paradoxical spaces, this does not necessarily mean that they pose a threat or danger because of their ambiguity, or that they are sites of radical politics. Rather domestic gardens are spaces where it is possible to reinforce hegemonic geographies and/or create alternative ones. Les jardins, le jardinage et l'horticulture—les parcelles et les plantes—bénéficient présentement d'une attention accrue de la part de géographes et de ceux qui s'intéressent aux disciplines spatiales, car celles-ci fournissent une lentille utile pour saisir les questions politiques complexes entourant la vie sociale et culturelle. Par cet article, je souhaite apporter une contribution à la littérature de ce domaine en considérant les jardins domestiques contemporains comme des espaces paradoxaux. D'entrée de jeu, cet article présente brièvement les raisons pour lesquelles les jardins domestiques contemporains ont fait l'objet d'une étude et passe en revue la littérature géographique sur les jardins, le jardinage et l'horticulture. Par la suite, cet article présente les données recueillies sur les jardins privés et les pratiques de jardinage à Hamilton et à Auckland, en Aotearoa/Nouvelle Zélande dans le but de montrer que les jardins domestiques sont des espaces paradoxaux dans lesquels les couples nature et culture, privé et public, individualité et socialité, loisir et travail, et colonial et postcolonial sont ébranlés. En terminant, bien que les jardins privés soient des espaces paradoxaux, cela ne signifie pas pour autant qu'ils constituent une menace ou un danger en raison de leur ambiguïté, ou qu'ils représentent des lieux de politiques extrémistes. Les jardins domestiques, en fait, sont des espaces o[ugrave] il est envisageable de consolider des géographies hégémoniques et/ou de d'en concevoir d'autres. Actualmente los jardines, jardinería y horticultura—parcelas y plantas—reciben cada vez mas atención de los geógrafos y otros interesados en las disciplinas espaciales, ya que ofrecen una manera útil de entender la compleja política de la vida social y cultural. En este papel, pretendo ampliar esta literatura por medio de un examen de los jardines domésticos como espacios paradójicos. El papel empieza con una breve descripción de algunos de los motivos por haber elegido estudiar los jardines domésticos contemporáneos. Luego hay un resumen de una variedad de literatura geográfica sobre jardines, jardinería y horticultura. Después el papel presenta datos sobre jardines domésticos y costumbres de jardinería en Hamilton y Aukland, Aotearoa/Nuevo Zelanda para ilustrar que los jardines domésticos son espacios paradójicos donde se ven desestablecidos los binarios naturaleza/cultura, privado/publico, individualidad/socialidad, ocio/trabajo y colonial/poscolonial. El papel concluye por decir que el hecho de que son espacios paradójicos no quiere decir que los jardines domésticos representen una amenaza o peligro por causa de su ambigüedad o que sean sitios de política radical. Más bien los jardines domésticos son espacios donde es posible reforzar geografías hegemónicas y/o crear otras alternativas.
Type
Journal Article
Type of thesis
Series
Citation
Longhurst, R. (2006). Plots, plants and paradoxes: contemporary domestic gardens in Aotearoa/New Zealand. Social & Cultural Geography, 7(4), 581-593.
Date
2006
Publisher
Routledge
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